– Le développement de nos associations dans les quartiers populaires :
Des avancées sont constatées à Melun, à Toulon, à Marseille, à Belfort et ailleurs, fruit d’un travail social d’enracinement….Il faut mutualiser les expériences diverses et intervenir dans d’autres villes.
– Les ateliers de développement :
Outils permettant d’échanger sur nos pratiques, de créer de nouvelles associations et de mieux ancrer sur les territoires les anciennes.
Le secteur conso et la tenue des permanences constituent le thème d’un premier atelier de développement.
– Le financement public :
Les modes de financement des politiques publiques ont été présentées. Les présidents attendent maintenant un soutien du niveau national qui s’y est engagé.
Le débat sur la laïcité a montré que le CNAFAL possède un corpus commun et des propositions claires dans le cadre du respect et du rappel des principes de séparation des églises et de l’Etat et du refus de toutes les dérives qu’elles soient communautaristes ou de stigmatisation d’une population.
Le CNAFAL combat les intégrismes, tous les intégrismes et regrette que le débat actuel entre les laïques ne se situe pas sur le terrain des idées.
Il en appelle au débat fraternel entre laïques sans anathèmes ni renoncements.
Le CNAFAL a débattu de la question de la PMA et de la GPA.
Pour lui il est nécessaire que des avancées significatives soient effectuées sur le plan législatif.
Aujourd’hui le CNAFAL a l’agrément santé, ce qui lui permettre d’être présent dans les différentes structures des Agences Régionales de Santé (ARS) pour y défendre les intérêts des familles et le service public de santé.
Jean-François Chalot – secrétaire général