J’ai rêvé que l’économie ultra libérale et le « secteur » financier (banques et assurances) qui nous gouvernent étaient mis à genoux, au service du bien-être de l’humanité.
J’ai rêvé que l’on donnait à comprendre à tous par l’éducation permanente du Citoyen, que l’on arrêtait de nous mentir et de nous cacher ce qui nous concerne et qu’enfin les médias jouaient leur rôle d’investigateur et de lanceur d’alerte au service d’un monde meilleur.
J’ai rêvé que ce monde qui n’a jamais été aussi riche se préoccupait enfin de ces peuples et ces enfants qui meurent.
J’ai rêvé qu’on donnait enfin les moyens à ces pays qu’on appelle sous-développés de mettre en oeuvre un développement durable et supportable où une vie décente et digne de l’être humain devient priorité.
J’ai rêvé que l’agriculture raisonnée et que les circuits courts permettaient à chacun de vivre dignement sans être exploité par la grande distribution, les grands groupes semenciers, et les laboratoires qui nous imposent les nouvelles techniques de modifications génétiques.
Voilà j’ai rêvé de tout cela et plus encore.
Mais j’ai surtout rêvé à mon réveil d’une célèbre maxime de Mark Twain: « Ils ne savaient pas que c’était impossible, alors ils l’ont fait »
Manu Messey